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TÉMOIGNAGES d’expériences diverses à partager …

1. Rencontre d’une personne qui a transformé votre vie
2. Expérience vécue qui vous a permis de retrouver votre équilibre et votre joie de vivre
3.
Découverte d’un produit, d’un livre, d’un site web qui vous a aidé à vous sentir mieux
4.
Un art créatif qui vous a aidé à retrouver le plaisir de vivre et fait naître chez vous une passion
5.
Un événement qui vous a permis de changer quelque chose dans votre vie
6.
La perte d’un être cher ou d’un travail qui vous a marqué et fait changer vos priorités
7.
Un voyage qui vous a permis de retourner à l’essentiel et qui a changé vos habitudes de vie
8.
La méditation qui vous a apporté une plus grande paix intérieure
9.
Une expérience vécue au travail qui vous a guidé vers un autre travail
10.
Une maladie qui vous a permis de vous transformer du tout au tout
11.
Une personne âgée qui vous a aidé à être plus philosophe dans la vie
12. La naissance d’un être cher vous a transformé

13.
Vivre dans la nature vous a permis de changer vos priorités et d’aller à l’essentiel, etc…

Cette rubrique proposait un échange d’expériences pour tous ceux qui s’intéressent au mieux-être et aux démarches possibles pour y arriver. Plusieurs personnes ont raconté le cheminement qui leur a permis d’acquérir la santé, le succès et le bonheur. D’autres ont trouvé, dans les expériences confiées, un outil potentiel pour se reprendre en main, pour voir la lumière au bout du tunnel ou pour expérimenter une nouvelle route.
Il y a bien des ressources qui se présentent durant notre parcours de vie, sachons tirer profit de celles qui peuvent nous être utile et partageons-les.
Merci de votre collaboration et de votre confiance
Christiane 

Ma rencontre marquante avec Maura Michalon
Ma rencontre avec Maura Michalon, psychophoniste, cantatrice et professeure de chant fut un évènement marquant dans ma vie. Celle-ci eut lieu en 1975. Cette rencontre a été une des perles qui ont jalonné mon parcours.
« Nous sommes à l’été 1975. J’entends parler de la venue de Maura Michalon, psychophoniste et professeure de chant habitant Paris. Elle vient remplacer la psychophoniste française Marie-Louise Aucher venue, pendant 2 étés consécutifs, enseigner la psychophonie, technique spécifique de la voix parlée et chantée.
J’avais conseillé à deux de mes élèves réguliers « en chant » d’assister à ce cours.
C’est donc par l’entremise de mes élèves que j’ai rencontré Maura.
Notre première rencontre fut particulière car ce fut comme si nous nous étions toujours connues. J’avais l’impression de rencontrer « une âme sœur ». Martiniquaise d’origine, Maura s’était installée à Paris à l’âge de 18 ans pour parfaire ses études musicales et ensuite, au cours de sa carrière musicale de cantatrice et de professeure de chant, faire des recherches spécialisées pour améliorer son parcours artistique.

Au cours des étés 1976 et 1977, je lui ai planifié ses sessions de cours au Québec et elle venait aux weekends à ma résidence pour se reposer et nous en profitions pour partager nos expériences de vie. C’est Maura qui m’a enseigné le DO-IN de Rishi (base de l’acupuncture), le TAICHI (art martial), les méthodes harmonistes de Raymond Dextreit (soins avec l’argile verte, les plantes, etc…) et la cure de raisin de Johanna Brandt que je fais toujours une fois par année pour nettoyer mon corps de ses toxines et de ses déchets.

Dès notre deuxième rencontre, je lui ai parlé d’une infection de la vessie, dont j’étais infectée, et qui persistait depuis mon deuxième accouchement. Mon oncle médecin m’avait prescrit des antibiotiques que je prenais une semaine sur deux depuis un an, cependant, je ne parvenais pas à guérir. Maura m’a alors conseillé d’appliquer, toutes les nuits, sur le bas ventre, un cataplasme d’argile verte. Je l’ai fait et, après une dizaine de jours, je ne souffrais plus et le mal n’est jamais revenu.

Par la suite, elle m’a donné en cadeau le livre de Raymond Dextreit : « CONQUÊTE ET PROTECTION DE LA SANTÉ AVEC LA MÉTHODE HARMONISTE » où je trouvais toutes les recettes efficaces pour vivre en parfaite santé.
Ce livre m’a toujours été très utile et je l’ai beaucoup partagé tout au long de mon parcours avec tous ceux et celles qui voulaient bien expérimenter les recettes adaptées à chaque problème de santé.

Maura et moi sommes toujours en contact. À chacune de nos rencontres, c’est toujours une fête, une joie de partager notre vécu … »
« La vie met sur notre route des personnes et des événements qui marquent notre vie, sachons être à l’écoute de ces moments magiques ».
Christiane Fortier, Québec 


Je vous partage mon expérience comme bénévole
aux soins palliatifs de la Maison Sarrasin, Qc.
« Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous » (Paul Éluard)
« Mon premier contact avec les soins palliatifs remonte à 1981. En effet, à cette époque, maman était hospitalisée à l’hôpital Royal Victoria de Montréal dans le premier département de soins palliatifs au Québec. Je suis en mesure de vous confirmer que les choses ont beaucoup évolué depuis. À cette époque, les entre-doses sur demande n’existaient pas. Les injections d’opiacé étaient prescrites aux deux heures et il était difficile de déroger de cette consigne. Je me souviens encore des négociations que j’ai dû entreprendre pour faire avancer de 10 ou 14 minutes la dose qui devait soulager ma mère de ses souffrances régulières. Non, sur ce plan, ce n’était pas la belle époque.

Plus de vingt ans plus tard, je suis à la recherche d’un nouveau bénévolat. J’ai déjà, entre autres, été impliqué dans un Comité Local de citoyens, dans le mouvement Desjardins comme administrateur, dans le mouvement Scout comme animateur et maintenant, je cherche autre chose. Je n’ai pas d’idées précises en tête; c’est alors que j’entends parler de la Maison Michel Sarrazin (MMS.) qui recrute des bénévoles. Cette Maison, (MMS), accueille des malades qui sont atteints du cancer et en phase terminale. Sans trop savoir à quoi m’attendre, je pose ma candidature; quelques semaines plus tard, je suis accepté.

Lors de ma dernière journée de formation, après m’être occupé particulièrement d’une malade durant mon «quart de travail», je vais la saluer pour lui dire que je quitte. Alors elle me demande si je serai présent le lendemain. Je lui réponds que je serai de retour seulement la semaine prochaine. Et la dame me regarde calmement et me dit : «vous savez, c’est loin pour moi la semaine prochaine»… Et lorsque je débute mon bénévolat la semaine suivante la dame en question nous avait quittés. Comme quoi, le temps est relatif en fonction du contexte où nous nous trouvons. Ainsi, pour l’athlète olympique, un écart de dixième de seconde c’est la différence entre se retrouver sur le podium ou pas. Pour le voyageur, un retard de quelques minutes fera la différence entre attraper son vol ou rater sa correspondance, etc…

Pour ceux qui ne seraient pas au courant, le travail d’un bénévole aux soins dans une maison de soins palliatifs consiste à assister l’infirmière ou l’infirmier dans ses tâches quotidiennes. On effectue sensiblement les même travaux qu’un préposé aux soins, mais le salaire en moins, il va s’en dire.

Compte tenu que je travaille encore le jour lorsque je débute mon bénévolat, j’ai demandé de travailler le mercredi soir afin de mieux gérer mon agenda hebdomadaire. Et c’est ainsi qu’un certain mercredi soir, en débutant mon bénévolat, je fais la connaissance de madame Claudette Gagnon qui travaille à la réception. Mentionnons que madame Claudette Gagnon est une des co-fondatrices de la Maison Michel Sarrazin avec son conjoint le docteur Louis Dionne et le docteur Jean Louis Bonenfant.

C’est le début d’un grand rendez-vous qui continue, encore aujourd’hui, de s’étirer dans le temps. Cette rencontre aura pour moi de grandes répercutions dans mon engagement avec la Maison et sa Fondation (www.michel-sarrazin.ca)

Au cours d’une discussion je mentionne à madame Claudette Gagnon que j’ai déjà été photographe. Quelques semaines plus tard, cette dernière me demande si je ne pourrais pas dépanner la Fondation et faire les photos lors d’une réception pour souligner le vingtième anniversaire de la Maison. C’est dans ce contexte que je fais également la connaissance de son conjoint, le docteur Louis Dionne. Puis suivra la croisière sur le Louis-Joliette, un concert avec les Violons du roi et d’autres activités encore. Et c’est ainsi que débute pour moi cette nouvelle implication bénévole avec la Fondation et la Maison.
Par la suite, c’est le projet du livre de photos pour célébrer les 25 ans de la Maison. Claudette Gagnon et le docteur Louis Dionne sont les premiers à m’appuyer dans ce projet.
Bien que la parution du livre, « Tendresse, scène de vie à la Maison Michel Sarrazin », soit quelque peu retardée le projet est tout de même réalisé et voit le jour en mai 2013. Cette réalisation nécessita une implication particulière de nombreux collaborateurs et collaboratrices. Bien sûr, il ne faut surtout pas oublier mes modèles, les malades, ainsi que leurs familles qui ont gracieusement accepté de se commettre dans cette aventure. Ce projet fut une immense course à relais où tous les participants impliqués ont couru leur parcours de manière exceptionnelle. Il est important de préciser que tous les fonds recueillis par la vente de ce livre au coût de $20. sont remis en totalité à l’œuvre de la Maison (MMS).

Notre bénévolat à la Maison Michel Sarrazin nous procure l’occasion de donner du temps à des personnes à qui il en reste moins que nous. Ce geste nous permet aussi de réaliser combien il est important de profiter du « moment présent » car nous sommes tous fragiles et à la merci de l’imprévu. Le bénévolat, quel qu’il soit, nous permet de faire des rencontres imprévisibles et de participer à des rendez-vous d’une grande richesse humaine. Pour ma part, je crois que nous sommes tous riches de cœur lorsque nous nous impliquons dans la communauté. De plus, j’ajouterai que ces rencontres deviennent souvent une source supplémentaire d’inspiration et de motivation exceptionnelle. »
Chères lectrices et chers lecteurs, je vous souhaite beaucoup de santé et bonne route !
Henri Dupond, St-Nicolas, Québec

L’Essentiel de la vie
« Ma relation avec une famille cubaine que je côtoie depuis plus de vingt ans a joué un rôle capital dans ma vie. Les valeurs familiales sont très importantes dans le monde cubain. Le partage et l’entre-aide entre les membres de la famille et du voisinage sont remarquables. C’est un peuple bien éduqué et accueillant. L’être a plus de valeur que l’avoir. Et le peu qu’ils possèdent, ils n’hésitent pas à le partager avec les autres, soit avec la famille, le voisinage, ou encore les visiteurs. Toutes ces valeurs qui les habitent m’ont particulièrement fait réfléchir sur l’essentiel de la vie et de m’en inspirer ».
Marcel Allard, Montréal. Qc.

Ma source d’inspiration
« Il me fait plaisir de partager mon expérience avec vous.
Ce fut un événement marquant dans ma destinée d’avoir rencontré Christiane Fortier, numérologue.
Rencontrée en consultation, elle m’a fait une analyse complète en numérologie.
De plus, c’est en lisant son livre « Les nombres vous parlent » que j’ai découvert sa technique d’analyse pour mieux comprendre le comportement de mes amis (es), famille et proches.
Curieuse et passionnée déjà, je me suis inscrite à une formation privée afin d’en savoir plus en ce domaine.

Maintenant, sur ma route, je rencontre des gens intéressés par la numérologie avec lesquels je partage mon expérience.
Je peux donc mettre en pratique toutes les techniques apprises afin de les aider à trouver des solutions à leurs problèmes existentiels ou tout simplement à vivre un meilleur équilibre quotidien dans tous les plans de leur vie.

En fait, je cherchais des réponses à mes questionnements sur ma relation avec mon père qui n’était pas évidente. J’étais en processus de pardon.
J’ai pu comprendre, avec cette science bien définie, les raisons des réactions que nous avions et j’arrive maintenant à être en harmonie avec moi-même en sa présence.
C’est donc la signification des nombres qui m’a donné les outils nécessaires afin de trouver un meilleur équilibre.
De plus, j’ai trouvé ma source d’inspiration dans la vie et je vous en souhaite autant !
Merci, merci, merci Christiane ! »

Lynda Bélec, Prévost, Qc.

Ma libération vient du détachement.
« La vie m’a amenée à vivre à la suite d’un divorce et de la mort d’une de mes amies (l’un à la suite de l’autre) une étape pénible de mon existence et cela m’a pris une bonne quinzaine d’années pour m’en remettre ».
Si les deuils sont pénibles pour le corps émotionnel et peut-être pour l’âme, le mental souvent ne peut comprendre pourquoi. Même si l’on connaît les notions de karma. Quoi que l’on en dise, les événements restent toujours présents et les blessures aussi.
Souvent, bien malgré nous, nous fermons la porte à l’amour (mieux vaut ne pas être en amour pour ne plus avoir mal et ne plus souffrir).
Mais, comme il y a toujours un sens à la vie et que celle-ci nous rattrape, elle nous amène les expériences nécessaires afin de se recontacter.
Et quand nous sommes prêts, nous croisons les personnes nécessaires afin de passer à une autre étape, celle de comprendre que le véritable amour est de nous aimer d’abord, nous respecter et de vivre le moment présent et ce, sans que l’on s’y attende.
Effectivement, j’ai fait une rencontre inattendue qui m’a rapprochée de moi-même et m’a permis de me retrouver et de retoucher mon coeur.
Le nombre d’années ne compte pas pour l’âme ni pour la conscience.

Ce que j’en retire: Cela n’est pas nécessaire de souffrir mais la souffrance fait partie de ce monde et c’est l’attachement, pour moi, qui m’a le plus nui.
Ma libération vient donc du détachement.

La foi est la clé de la porte et l’amour, qui est de l’autre côté, sera toujours la plus grande valeur.»            

Jeannine, Montréal, Qc.

J’ai décidé de me réorienter.
Je vous envoie mon expérience suite à ma perte d’emploi il y a 3 ans.
« Je travaillais au gouvernement provincial depuis 25 ans. Suite à un problème de santé (cancer au côlon), j’ai dû prendre un congé de maladie de 2 mois. À mon retour au travail, je me suis rendu compte que ma vie était routinière et que je n’avais plus le goût d’entrer au boulot chaque matin. J’ai suivi une douzaine de séances de thérapie durant laquelle j’ai décidé de me réorienter. J’ai pris des cours en technologie / programmation et maintenant je suis heureux. Je travaille à la maison à mon rythme et ma santé se porte de mieux en mieux. J’ai constaté que lorsqu’on travaille dans un travail répétitif, devenu non créatif, cela nous « rend malade » et nous avons l’impression qu’on se meurt. J’ai donc décidé de changer de vie professionnelle avant de mourir à petits feux.
J’ai lu les témoignages hebdomadaires et j’aime beaucoup votre rubrique. Bonne continuité. »
A. Tremblay, Trois-Rivières, Qc.

Harcelée par un angoisse persistante, je pris mon courage à deux mains.
C’est aux Beaux-Arts, à l’école de peinture de Sylvia Araya, en plein froid de janvier, que j’ai aperçu, pour la première fois, cette grande tête blonde fièrement déposée sur ses épaules.
D’un geste énergique et rapide, Christiane dessinait attentivement le modèle désigné.
J’étais frappée par cette femme souriante, heureuse d’être là, heureuse de vivre.
J’avais l’impression qu’une lumière émanait autour d’elle.
À la pause-café, Christiane apportait ses connaissances à ceux et celles qui en avaient besoin. Positive, elle avait souvent une suggestion ou une solution à nos problèmes. Plusieurs cours et tempêtes passèrent quand un jour, harcelée par une angoisse persistante, je pris mon courage à deux mains et je lui dis : « Christiane, j’ai un problème et je sens que tu peux m’aider ! »
Instantanément, Christiane me répondit : « oui, à quelle heure peux-tu venir chez moi demain ? »
J’étais stupéfaite. Jamais quelqu’un ne m’avait offert son aide d’une façon si gratuite, rapide et spontanée. Le lendemain, j’étais chez elle, apprenant mille et une choses sur moi-même par le biais de la numérologie. Elle me fit faire des exercices de respiration et je commençais à entamer mon évolution.

« Il ne faut pas hésiter de demander dans la vie lorsqu’on a besoin »
Plus de « trente ans » se sont écoulés depuis ce jour et Christiane et moi sommes devenues les meilleures amies de la terre. Mon existence est « des plus heureuses » depuis cette rencontre.
Je remercie Dieu d’avoir mis Christiane sur ma route. Je sais que notre amitié est éternelle et je souhaite à toutes et chacune de faire sa connaissance et surtout de découvrir ses connaissances en Numérologie.
Christiane Pearson, Oregon, USA


Merci à Dieu. Merci aux donateurs.
Merci à la VIE d’avoir ouvert mon cœur

« Cinq années de soleil brûlant, un corps emmitouflé de caresses solaires, des gouttes de sueurs ruisselant sur mon corps, les cheveux au vent, la tête en liberté, envahi par tant de désirs charnels, gouttes d’alcool suintant sur mes lèvres, vivant comme un roi avec toute cette jouissance collective, j’en oubliais le « Dieu » de mon cœur, celui qui rend vraiment l’homme heureux. »
Voici mon expérience : « Fatigué de cette liberté, la vie me fit connaître Haïti, pays oublié des dieux. Une grande porte double, montée de fer, s’ouvre à sa frontière me dévoilant ce que je n’avais même pas imaginé. Le monde le plus pauvre de la terre, entassé dans un cimetière de misère, cherchant à cueillir au passage quelques sous. Longeant mon véhicule, ces gens, avec leurs yeux remplis d’espoir, étaient prisonniers de leur souffrance.
Mon cœur brûlait de honte. Blanc, avec la dignité d’être canadien, je n’avais jamais soupçonné que la misère pouvait avoir un souffle. Je me suis dirigé vers la ville de LIMBÉ qui ressemblait plus à un dépotoir qu’à notre monde de consommation. Toutes les routes étaient brisées comme si la guerre avait fait rage ! Traversant à pied ce que les Haïtiens surnomment une route, je grimpais une colline et, en arrivant tout en haut, j’ai découvert une bâche soutenue par 4 grosses branches qui servait d’école à 45 haïtiens de 4 à 6 ans. Chaque jour, après avoir marché 3 kilomètres, ceux-ci descendaient la montagne pour assister à des leçons de français et de mathématiques données par un professeur bénévole qui avait le courage de leur consacrer quelques heures par semaine.
À ce moment, Dieu est arrivé dans mon cœur. Rien ne pouvait, désormais, m’empêcher de construire une école pour ces enfants qui rêvaient d’apprendre un peu plus que leurs parents.
Travaillant, sollicitant, suppliant, j’ai réussi à recueillir de l’argent offert par des cœurs généreux. Ayant foi en moi, j’ai entrepris ce projet. Ainsi une « école » digne de ce nom fut construite. L’institut Omer Houde accueille aujourd’hui 140 enfants qui peuvent suivre leur cours primaire.
Du fond de mon cœur, je remercie Dieu. IL m’a donné la force nécessaire et m’a guidé tout au long de ce parcours pour aider ces enfants dans le besoin. »
« Merci mon Dieu, Merci aux donateurs et Merci à la VIE d’avoir ouvert mon cœur.»
Omer Houde, Québec, Qc.

 Un accident est venu changer notre petite vie

« Le 2 janvier 1975, il faisait beau, la neige était belle, on finissait de défaire l’arbre de Noël et on décida d’aller sur le bord du Richelieu faire de la traîne sauvage. Ma belle-sœur et son mari y avaient un chalet et, à chaque année, ils faisaient une immense glissade qui se terminait sur le Richelieu….
Malheureusement, la neige avait quelque peu fondue. Sur le bord du rempart de six pieds, il y avait des plaques de ciment légèrement à découvert. Comme j’adorais faire de la traîne sauvage, je grimpais la pente avec ma petite fille que j’installai entre mes jambes. Mon mari m’avait avisée de bien diriger la traîne car il avait aussi vu le ciment. Après un moment d’hésitation, il m’a dit alors, tu peux y aller. Je m’élançai et je sentis qu’on touchait le ciment. Au lieu de descendre normalement, nous recevons une poussée vers le haut, ce qui nous a projetées aussi haut que le toit de la maison. C’est alors que nous sommes retombées sur la glace du Richelieu tout d’un coup (de la hauteur de la maison, plus six pieds de rempart). Mon corps servit de tampon à ma fille qui fut projetée à quelques pieds de moi sur la glace. Quand mon corps toucha la glace, je sentis que tout mon dos se brisait, je n’ai pas eu mal, juste la sensation que mon corps se défaisait comme un casse-tête qu’on défait et que les morceaux sont lancés un peu partout…
Tout à coup, une lumière m’attira, tout fut calme, je sentis en moi une grande paix. Je vis mon corps étendu sur la glace que mon mari essayait de relever. Je n’ai ressenti aucune émotion, juste une grande paix, une sensation de bien-être …Là, je vis une lumière qui semblait venir du bout d’un tunnel, ma vie défila devant moi, j’avais le choix de continuer ou de revenir, je regardai les enfants, mon corps inerte, mon mari, je devais prendre une décision rapidement. J’ai voulu continuer et, tout à coup, j’ai eu le flash que je ne pouvais laisser les enfants et mon mari qui auraient besoin de moi…Aussitôt, je me suis sentie aspirée par mon corps et là j’ai très mal, je ne peux bouger tant tous les os me font mal.
Mon mari me transporte à l’hôpital en auto, c’est l’enfer. Je transpire, j’ai de la difficulté à retenir mes urines, j’ai l’impression que mon corps se vide. En arrivant à l’hôpital, on nous dit que mon mari n’aurait jamais dû me bouger, que nous avions pris un grand risque. Moi dans mon innocence, je voulais juste un médicament pour la douleur et retourner à la maison. Je pris conscience que c’était grave quand on m’installa sur une civière et que je n’eus plus le droit de bouger. On coupe mon linge plutôt que de me déshabiller normalement. Après avoir passé un rayon x, j’ai reçu enfin un calmant. N’ayant presque plus de douleur, je voulais alors retourner à la maison car j’avais les enfants qui m’attendaient. Le médecin me dit qu’il préférait me garder pour la nuit …
Je passai donc deux semaines en orthopédie, sans bouger, juste une barre trapèze pour faire de l’exercice avec mes bras, beaucoup de calmants, des rayons x tous les jours pour constater l’évolution.
Une journée où j’étais un peu plus réveillée, je parlai au médecin de l’expérience que je venais de vivre. Il m’expliqua que le corps à un seuil de douleur et que, lorsque ce seuil est atteint, le cerveau déclenche une glande qui crée ce genre d’hallucination, il me dit aussi que probablement, ce qu’on ne dit pas dans les livres, c’est que je suis morte et revenue à la vie parce que je l’ai voulu.
C’est à ce moment que je sus que mes chances de remarcher étaient très minces car les vertèbres glissaient autour de ma moelle épinière. Sans le savoir, j’ai fait de la programmation, je me suis vue courir avec les enfants. Donc, pour moi, aucun doute, je remarcherais, j’écoutais donc à partir de ce moment les précieux conseils du médecin. Il m’avoua 3 ans plus tard qu’il ne comprenait toujours pas comment j’y étais arrivée !
J’ai beaucoup lu sur la vie après la mort, des livres qui traitent d’ésotérisme, de vies sur d’autres planètes, etc… je me suis ouverte à toute les formes de religions, j’ai beaucoup médité, réfléchi pour savoir où allait ma vie … J’ai compris que si moi j’avais vécu cela, les proches que j’avais perdus étaient toujours présents d’une certaine façon, mourir n’était qu’un passage où on nous laisse libre. Je devenais une autre personne, une personne meilleure.
J’ai dû porter un corset orthopédique pendant un an pour pouvoir me lever debout. Je me suis assise pour la première fois en avril sans corset. Je me sentais un peu comme une poupée de chiffon avec un gros ventre. Tout était à refaire, cela m’a pris trois ans avant de pouvoir mener une vie normale. Après je suivis des séances de physiothérapie pour tout réapprendre. Je ne me suis jamais découragée et pourtant, en écrivant cette partie de ma vie, je me demande encore « comment et où » j’ai trouvé le courage pour passer au travers sans jamais douter que j’y arriverais, la jeunesse probablement !
Je dois dire que cet accident a changé radicalement ma vie et la vie de tout le monde autour de moi. Mes valeurs ont complètement changé à partir de cette journée. J’ai perdu des amies qui, en fin de compte, n’en étaient pas… Notre vie de couple a radicalement changé, j’ai découvert à quel point j’étais aimée de mon mari, tout ce qu’il a pu faire pour me rendre la vie plus facile pendant cette période. Nos priorités ont changé, les enfants, par la force des choses, ont pris une bonne dose de maturité car chacun y mettait du sien…
Ce que j’ai trouvé le plus difficile à vivre en cette période fut la maladie de mon conjoint. Au mois d’août de la même année, celui-ci fit un infarctus. Pour moi, me déplacer était encore difficile car je devais me rendre à l’hôpital avec ce gros corset, en tenant mon beau-frère par la main, le temps qu’on m’installe dans une chaise roulante. J’ai compris alors pourquoi j’étais revenue maintenant car mon conjoint avait besoin de moi. J’ai toujours pensé que mon accident avait peut-être provoqué son malaise, on m’a expliqué que probablement que c’était arrivé plus tôt que prévu mais que c’était une question d’hérédité et que, tôt ou tard, cela se serait produit.
Avant cet accident, je ne savais pas que j’avais cette force intérieure en moi. J’ai souvent remercié la providence pour cet accident. La petite fille en moi n’aurait jamais pu passer au travers de la maladie et du décès de l’homme qu’elle aimait.
En 1978, quand mon mari est décédé, mon monde s’est effondré. Tout était à refaire. Comment moi, je pourrais y arriver seule ? Je terminais un cauchemar pour en reprendre un autre. Je vivais une grande solitude…..et même entourée, je me sentais tellement seule. Je n’avais aucun repère, les veuves de 35 ans étaient plutôt rares ! En 1978, on ne voyait que des couples ou des personnes divorcées … Personne ne pouvait comprendre.
En juillet 1979, papa décéda d’une thrombose, il n’avait tout juste que 60 ans. Je ne comprenais pas. Je perdais les hommes de ma vie dont mon frère en 1977 d’un cancer des intestins.
J’ai beaucoup lu sur la vie après la mort. Je dois dire que je voulais comprendre, avoir l’espoir qu’un jour je reverrais tout ce monde ! Enfin, je ne sais pas si c’est le fruit de mon imagination, mais, pendant un certain temps, je sentais qu’ils étaient tout près ou avec moi, ce qui m’a grandement aidée à vivre et à accepter leur perte !
Nom de plume : Renaissance, Montréal, Qc.

L’écoute de la vie d’ALICE HERZ SOMMER m’a redonné le goût de jouer à nouveau du piano.
Je vous fais part d’un article paru en avril – mai 2014 dans « LA SCENA MUSICALE » suite à une émission de télé qui m’a beaucoup bouleversée. « Cela m’a redonné le goût de jouer à nouveau du piano, instrument délaissé depuis longtemps. Cela ajoute maintenant plus de bonheur dans ma vie ». Cette émission de télé était un court métrage documentaire anglais axé sur l’espoir, le bonheur et la musique.
On y relatait ceci : « La musique n’est certes pas la priorité en temps de guerre, mais rien n’a arrêté Alice Herz Sommer d’en jouer. De nombreux mélomanes se sont rassemblés pour l’entendre jouer du piano, même si son instrument a été confisqué durant la Seconde Guerre mondiale.
Le documentaire retrace la vie de la pianiste, alors âgée de 109 ans, rescapée d’un camp de concentration tchèque. Née à Prague en 1903, elle commence dès l’âge de 10 ans à aller à des concerts et elle fait la connaissance du compositeur Gustav Mahler et de Franz Kafka, des amis de sa mère. Grâce à l’amitié qui liait la famille Sommer au compositeur autrichien, Alice a assisté à la présentation de la Deuxième Symphonie de Mahler lors d’une visite à Vienne.
En 1931, Alice épouse Leopold Sommer, homme d’affaires et violoniste.
Leur fils prénommé Raphael naîtra en 1937. Violoncelliste accompli, il est mort en 2001.
Alice a donné plus de cent concerts un peu partout en Europe. Le 15 mars 1939, l’invasion de la Tchécoslovaquie par les Allemands mettra fin abruptement à sa carrière professionnelle. Il était alors interdit aux Juifs de se produire en public, de participer à des concours et d’enseigner à des non-Juifs. Plus tard, Alice et sa famille ont été déportées au camp de concentration de Theresienstadt, à 60 kilomètres au nord-ouest de Prague. En dépit des conditions de vie horribles, les prisonniers composaient de la musique qu’Alice jouait pour le plaisir des détenus. Même les surveillants appréciaient la musique de la pianiste. En visionnant le documentaire, il ne fait aucun doute que le passage d’Alice au camp de concentration a changé sa vie et que la musique a joué un rôle crucial, symbolisant l’espoir, l’élévation et la beauté. En 39 minutes à peine, Alice Sommer nous entraîne dans sa vie en toute simplicité, avec le sourire. Elle a touché le bonheur en jouant Bach, Beethoven, Brahms, Chopin, Schubert et Schumann. Bien que sa vie ait été ponctuée de moments très sombres, elle a su garder son « optimisme » malgré tout. « The Lady in Number 6 : Music Saved My Life » réalisé par Malcom Clarke, cinéaste britannique établi à Montréal, a remporté cette année l’Oscar dans la catégorie « court-métrage documentaire ».
Il est triste que la plus vieille survivante connue de l’Holocauste soit décédée à Londres peu de temps avant les Oscar, le 23 février 2014.
Alice Herz Sommer a joué 3 heures de piano par jour afin de garder sa vivacité et sa joie de vivre jusqu’à ses derniers jours… à 109 ans !
Cynthia, Montréal, Qc.

MA MÈRE, SOUFFRANT DE DÉPRESSION, A TRANSFORMÉ SA VIE.
« Je vous parlerai de ma mère qui, dans les années 1980, a changé d’attitude face à mon père et cela a changé du tout au tout notre vie de famille qui, en cette période, était ravagée par les addictions (alcool et drogues) de mon père.
Moi, j’étais adolescent, l’aîné d’une famille de 3 enfants. J’essayais bien de supporter ma mère dans cette épreuve que nous traversions depuis quelques années mais je me sentais démuni.
Mon père avait un excellent travail et gagnait beaucoup d’argent. Nous ne manquions de rien.
Mais, après le travail, il s’enivrait régulièrement et devenait « incohérent ».

Suite au comportement de mon père, ma mère était devenue dépressive (elle en était à sa troisième dépression).
Elle a rencontré Christiane qui l’a écoutée et lui a suggéré de changer complètement de comportement face à mon père et à elle-même. Maman ne disputait plus lorsque mon père arrivait quelques soirs par semaine complètement ivre. Occasionnellement, il était supporté par 2 hommes qui le ramenaient à la maison et le déposait sur le divan du salon. Mon père parlait fort et ma mère ne répondait plus à ses remarques ingrates et sans fondement. Elle vaquait à ses tâches ménagères ou lisait.
Nous, nous restions dans nos chambres, inquiets, nerveux, essayant d’étudier … et ne sachant quoi faire !
Mon père d’origine européenne disait souvent à ma mère qu’elle n’était qu’une petite québécoise !
Je trouvais cela injuste car elle se dévouait corps et âme pour notre famille.
Ma mère a mis en pratique toutes les suggestions de Christiane. Elle s’est inscrite à des cours de conduite, lisait tous les livres qu’elle lui passait (La clé d’or d’Emmet Fox, La clé de Barbarin, Le jeu de la vie de Florence Scovel Shinn, etc…). Elle rencontra une naturopathe, améliora son alimentation, diminua sa médication jusqu’à l’arrêter complètement, prit des cours de relaxation, de natation et de yoga. Elle acheta même une voiture, trouva du travail à demi temps pour devenir plus autonome et commença à s’impliquer dans la communauté pour aider les gens en transmettant tout ce qu’elle avait mis elle-même en pratique. De plus, elle coupa ses cheveux, alla de temps en temps chez l’esthéticienne et portait de nouveaux vêtements qui lui allaient à ravir. Elle était rayonnante.
9 mois passèrent, mon père commençait à changer. Il entrait le soir de plus en plus sobre, de meilleure humeur. Après 1 an et demi, mon père avait maitrisé sa dépendance à l’alcool et aux drogues. Notre vie de famille avait enfin retrouvé la quiétude.
Je pense fortement que « mon père a eu peur de perdre ma mère » qui prenait de plus en plus de liberté et de force intérieure. Elle continuait à s’occuper d’elle-même tout en s’occupant de nous. J’étais heureux de voir ma mère s’épanouir ainsi. Elle ne fit plus de dépressions et elle avait pardonné à mon père toutes ses frasques car elle l’aimait toujours.»
Ce que je retiens de cette étape de ma vie est que lorsqu’on se prend en main, la vie change du tout au tout. Si on attend que les autres changent, on peut en être fort déçu.
Travaillant professionnellement depuis plusieurs années dans le domaine des « ressources humaines » dans une entreprise, je mets en pratique certains outils que ma mère a reçus et qui me donnent d’excellents résultats.
Martin, Drummondville, Qc.

Il faut voir ce qui se passe ailleurs pour devenir plus tolérant.

Habitué à mon luxe quotidien, possédant une grosse propriété, une voiture de l’année, une compagnie prospère, etc… j’étais un de ces québécois qui n’en avait jamais assez. Je me payais tout ce dont j’avais besoin.
Lors de mon premier voyage à Cuba, en 2010, j’ai rencontré plusieurs cubains très sympathiques. J’ai remarqué qu’ils étaient heureux avec presque « rien ». La plupart ont leur cours universitaire et travaillent à un salaire dérisoire. Bien vêtus, ils sont propres de leur personne et ont un bon moral malgré le régime installé à Cuba depuis des décennies.
J’ai visité une couple de fois leurs petites mansardes dotées du stricte nécessaire et je peux vous dire que je me suis trouvé chanceux de vivre dans un pays libre avec tout ce qu’on peut se procurer facilement.
À mon retour, j’ai remarqué que j’appréciais plus ce que j’avais, je critiquais moins notre système politique, économique, etc… Il faut voir ce qui se passe ailleurs pour devenir plus tolérant. Aussi, j’ai réalisé à mon retour de voyage « qu’il m’en fallait moins pour être réellement heureux » et je reste maintenant à l’affût de ce qui m’est réellement nécessaire.
M. G. Montréal, Qc.


J’ai réglé mon problème de sciatique

« J’ai 45 ans et je souffrais, depuis 2 ans, d’une douleur intense du côté droit, de la cheville au bas du dos. J’ai consulté mon médecin qui m’a dit que je souffrais d’un problème de sciatique.
Il m’a prescrit un médicament qui ne m’enlevait que partiellement ma douleur et ce, pendant de courtes durées.
J’étais limité dans mes activités car je ne pouvais plus marcher longtemps, courir, faire de la bicyclette. Cela me déprimait beaucoup.
Une amie m’avait suggéré de lire « Le corps a ses raisons » de Thérèse Berthelat car elle avait réglé ce genre de problème avec les exercices conseillés dans ce livre.
Après avoir lu le livre, j’ai mis en pratique pendant plusieurs semaines tous les exercices mentionnés et j’ai arrêté de souffrir.
Certains de ses exercices sont aussi décrits dans un livre de Marie-Louise Labonté où elle mentionne avoir réglé un problème physique avec ceux-ci.
Si vous pouvez encore trouver « Le Corps a ses raisons » en librairie ou en bibliothèque, il y a aussi ses 2 autres livres fort intéressants de la même auteure  « Le Courrier du corps et Les saisons du corps »
Louise B. Toronto, Canada 


« Ma renaissance après le décès de mon conjoint »
Je suis dans la soixantaine. Je dois avouer que j’ai vécu une dure période avant et après le décès de mon conjoint survenu au printemps 2012. J’ai dû arrêter de travailler pour l’accompagner dans sa fin de vie. Même si ma famille fut d’une précieuse aide tout au long de sa maladie qui a duré 18 mois, j’ai dû faire des efforts surhumains pour tenir le coup et je pensais même que j’allais partir avant lui … Son cancer me pompait toutes mes énergies.
Je me sentais seule, dormais peu, j’étais très anxieuse face à la vie et n’avais plus d’appétit.
Une amie de longue date fut pour moi d’un grand support moral car, à chaque fois que je me sentais sombrée, elle me téléphonait ou encore venait prendre un café à la maison.
Un jour, me voyant bien stressée et amaigrie, elle me conseilla d’aller consulter un naturopathe ainsi qu’une massothérapeute qui faisait de la réflexologie ainsi que des soins énergétiques. J’y ai réfléchi quelque temps.
Je me suis enfin décidée après quelques semaines d’hésitation à prendre rendez-vous.
J’ai mis, petit à petit, leurs conseils en pratique. Il m’a fallu me discipliner et être vigilante quotidiennement. Je me suis tranquillement remis à mieux dormir, à retrouver l’appétit et surtout je suis devenue moins anxieuse.
Le plus cocasse, c’est que j’ai pris goût à prendre soin de moi. J’ai constaté que je n’avais pas eu le temps de penser à moi au cours des dix dernières années. J’étais surchargée par mon travail, les responsabilités familiales et communautaires.
J’ai compris qu’après des moments difficiles, il ne faut pas se laisser aller, il faut reprendre sa vie en main car il y a encore des jours heureux à connaître. J’ai repris goût à la vie.

Johanne, Québec, Qc.


« Visionnaire et philanthrope, Zita Cobb,
a mis sur pied dans la petite île Fogo, au large de Terre-Neuve, une fondation caritative et investi des millions afin de revitaliser son milieu rural et valoriser les traditions et les savoirs locaux ».
Zita Cobb, femme exceptionnelle, 55 ans, le sourire rayonnant, cheveux courts à la Jean Seberg, de l’énergie à revendre, roule en Subaru 2005 et dort deux ou trois heures par nuit. Une battante.
Après avoir fait fortune dans le domaine de la fibre optique, cette fille de pêcheur, qui a grandi dans une maison sans électricité, est revenue dans son île natale : Fogo, située au nord-est au large des côtes de Terre-Neuve. C’est une des destinations les plus prisées du monde pour ceux qui veulent vivre un réel « dépaysement ».
En 2004, avec deux de ses frères, elle a mis sur pied une fondation caritative et investi des millions afin de revitaliser son milieu rural et valoriser les traditions et les savoirs locaux. Depuis, ses projets ont électrisé la presse internationale, dont le très pointu magazine britannique Monocle.
Deux de ses coups d’éclat sont assurément la construction de résidences d’artiste aux lignes ultra nettes – de véritables sculptures tombées du ciel – et, surtout, la création d’un hôtel contemporain ancré dans une nature indomptée. Inauguré le 1er juin dernier, l’établissement luxueux de 29 chambres, ouvertes sur l’immensité de l’Atlantique, fait cohabiter art actuel, histoires de pêche à la morue et courtepointes faites à la main par des artisanes du coin. Unique!
Zita Cobb parle de son travail et de sa façon de voir le monde avec franchise. Sans une once de prétention. Pourtant, sa vie a tout du success-story. Seule fille d’une famille de sept enfants, elle grandit dans une modeste maison et travaille auprès de son père à préparer et saler les poissons.
À 16 ans, Zita termine ses études secondaires et obtient une bourse. « Autrement, je n’aurais jamais pu aller à l’université. Personne ici n’avait les moyens d’aller à l’université », rappelle-t-elle. Elle s’installe à Ottawa, étudie les affaires et, plus tard, décroche un poste de cadre supérieure chez JDS Uniphase. Elle partagera son temps entre les bureaux d’Ottawa et de la Californie, jusqu’au jour où elle décidera de prendre sa retraite, en avril 2001, à l’âge de 42 ans. Après avoir encaissé ses actions, on avance qu’elle aurait reçu plus de 60 millions de dollars.
Jeune retraitée et sans enfant, elle voyagera et vivra quelques années sur un voilier avant de revenir sur son île. Pendant ce temps, elle établira un fonds de bourses d’études à Fogo. Lors d’une rencontre publique, elle se fait toutefois rabrouer par une résidante. Cette dernière considère que de telles bourses encouragent les jeunes à quitter l’île. «Vous devriez plutôt créer des emplois», lui avait-elle lancé.
En 2004, Zita crée, en compagnie du plus jeune et du plus âgé de ses frères, Shorefast, une fondation dont le principal objectif est de revitaliser l’économie et le milieu rural des îles Fogo et Change, dans le respect des traditions locales et grâce à des projets innovateurs.
L’une des initiatives qui a fasciné les adeptes d’architecture de la planète est assurément la construction de pavillons réservés à des artistes internationaux, qui bénéficient du programme de résidence de Fogo Island Arts, un projet de la fondation. Quatre des six studios ont été complétés et les deux autres devraient l’être d’ici 2015. Avant-gardistes, ces constructions portent la griffe d’un Terre-Neuvien d’origine et étoile montante de l’architecture: Todd Saunders, qui est né à Gander en 1969 et qui, aujourd’hui, vit et travaille en Norvège.
De l’art, de l’architecture et une communauté – C’est donc par le biais des arts que Zita Cobb a d’abord fait sa marque dans l’île. Étonnant comme moyen de créer des emplois?
« Mon objectif est de sauvegarder une culture et non de construire une usine. N’importe qui peut ouvrir une usine. Mais est-ce que cela nous rendra plus intelligents? Est-ce que la communauté rurale sera davantage en contact avec le monde? Je crois farouchement au pouvoir des affaires, mais elles peuvent anéantir une culture. Le commerce doit rester un outil, juge-t-elle. La nature et la culture sont les deux choses qui comptent le plus à mes yeux ».
Pour la construction des studios, la fondation a fait appel aux artisans de l’île et procédé à la rénovation d’environ 15 maisons patrimoniales. Celles-ci abritent les artistes, après leur journée de travail au studio.
Zita, qui a toujours son appartement à Ottawa, vit également dans une demeure pittoresque, toute simple, construite par son oncle Art. Rien à voir donc avec les formes très audacieuses et l’ultramodernes des pavillons… « Leurs formes sont peut-être nouvelles et leurs angles plus complexes, mais elles demeurent des boîtes en bois, comme ma propre maison », fait remarquer Zita, qui compare ces pavillons à des points d’exclamation dans l’environnement.
Après les studios, un hôtel
Également conçu par Todd Saunders, l’hôtel Fogo Island Inn est le dernier tour de force de la fondation Shorefast. Les éventuels excédents générés par l’établissement, qui fait travailler 68 employés, reviendront à la communauté, qui pourra les utiliser selon ses besoins. Les deux ordres de gouvernement ont aussi cru aux divers projets de la fondation, en fournissant 15 millions de dollars, soit 24% des coûts totaux de 63 millions de dollars.
Comme les pavillons, l’hôtel est habillé de bois local, à l’intérieur comme à l’extérieur. Et, surprise, la partie du bâtiment en porte-à-faux est soutenue par un savant enchevêtrement de pilotis d’acier. Impressionnant. « Cette architecture fait écho aux méthodes de constructions typiques des lieux, explique Todd Saunders. Je me suis inspiré de leurs pratiques: comment ils construisent, comment ils utilisent le bois, comment ils soulèvent leurs constructions sur des pieux et comment ils font preuve de modération dans l’usage des matériaux ». Autre caractéristique: tout l’ameublement, dessiné par des designers internationaux, a été fabriqué sur l’île. « L’idée derrière cet édifice est de créer un lien entre l’avenir et le passé et d’une certaine façon de perpétuer les traditions sans faire du lieu un musée! Dès son entrée, un visiteur devrait percevoir aisément la culture de notre communauté », résume Zita.
Informations trouvées sur internet …
Une lectrice assidue

« Merci de m’avoir fait découvrir les 4 épisodes sur la psychologie positive du bonheur »
Après avoir écouté ces 4 épisodes, j’ai décidé de mettre dans ma vie les conseils de Jordi Quoidbach, Laurence Bibas et Karim Ngosso.
Ce n’est pas toujours facile car cela prend beaucoup de volonté et de discipline mais je sais qu’avec le temps, j’arriverai à améliorer mes habitudes de vie.
J’en vois déjà les résultats après 2 mois d’exercices quotidiens et mon environnement m’a déjà demandé ce qui s’est passé dans ma vie pour être beaucoup plus optimiste et souriante.
De plus, j’ai beaucoup plus d’endurance physique dans mon quotidien.
Julie B. Gatineau


« RÉFLEXION SUR IMPRESSIONS »
Il est là, ponctuel, fidèle, égal à lui-même,
c’est-à-dire, dans notre belle province québécoise, flamboyant.
Mais qui ? L’automne bien sûr !
Et alors ? Hé bien, il ne nous laisse pas indifférent,
on le voit, on le ressent.
En quelques jours, tout a changé autour de nous. Cela même si, cette année particulièrement, il semble prolonger l’été.
Je me demande pourquoi cette saison nous touche ainsi.
Parce que l’été est fini, avec tout ce qu’il représente; cela nous rend-il nostalgique ?
Parce que c’est une explosion de couleurs issues d’une palette à la richesse surprenante?
Car, même si nous n’avons pas la chance de vivre proche de la nature, est-ce parce qu’il y a toujours, semble-t-il, un arbre dont l’éclat nous impressionne, accroche notre regard et qui témoigne que l’automne est là ?
Ou est-ce parce que le vent frais, à son gré, cueille les feuilles éclatantes et mortes, les rassemble parfois, les fait valser et, plus souvent, les emporte et les disperse ?
C’est précisément ce ballet, je crois, qui m’inspire le plus et me conduit, à cette période de l’année, à une certaine réflexion.
Je suis incité à la partager, non pas comme une confidence gratuite, mais, plutôt peut-être, comme une recette que dame nature nous suggère et nous offre.
Lorsque je vois tous ces arbres se dépouiller de leurs feuilles et, bientôt, être complètement dégarnis, je ne peux m’empêcher de penser que la nature fait bien les choses en leur imposant cette pause hivernale.
En automne, lors d’une marche ou lors d’une simple promenade, en milieu boisé, une évidence s’insinue et finit par s’imposer.
Pourquoi, nous aussi, sur le plan émotionnel, ne pas nous dépouiller de temps en temps, non pas du nécessaire, mais de ce qui nous encombre, nous gêne ?
Je me suis aperçu, en effet, que le spectacle de ces feuilles qui quittent les rameaux et les branches, m’incite à abandonner ce qui me semble inutile, pesant, stérile.
Il en est ainsi de mes regrets, de mes déceptions ou de celles que j’ai occasionnées, de mes attentes infertiles, de mes peines passées. Mais aussi à me départir de mes ressentiments, du souvenir de mes erreurs et de mes échecs.
Aussi, par mimétisme avec la nature, sans doute et pourquoi pas, j’ai envie de « balancer à tous vents » toutes ces entraves qui pèsent et me freinent.
En fait, j’ai besoin de me « prendre en main ».
À chaque occasion qui m’est offerte en ce moment, je procède à ce nettoyage.
J’ai constaté que je devais persévérer, insister, car à chaque « toilette » … j’en enlève encore !
Cependant, je me sens de plus en plus apaisé, agréablement ressourcé.
Je sens, aussi, que je serai bientôt prêt à « entrer » dans l’hiver, cette saison favorable à l’introspection, à la méditation.
Pour cela, j’ai fait de la place afin d’accueillir une sérénité renouvelée et régénératrice. Merci la nature ! Merci la terre ! Merci la vie
Jean, Ch. de Kerpalud, France

« Merci de m’avoir fait découvrir les vidéos d’Eckhart Tolle »
Depuis un certain temps je n’arrivais plus à vraiment être heureux.
Je me demandais ce qui n’allait pas dans ma vie !
Pourtant, j’ai une femme, 2 enfants, un travail intéressant, quelques activités qui me captivent encore … mais, dans mes moments de réflexion, je me rends compte qu’il me manque quelque chose ! mais Quoi !
En écoutant « Pourquoi cela ne marche pas » d’Eckhart Tolle, j’ai compris.
Depuis, je me lève plus tôt le matin et j’écoute 15 à 30 minutes d’un des vidéos d’Eckhart Tolle. Cela me permet de commencer ma journée avec une nouvelle énergie qui m’est de plus en plus favorable dans mon travail d’enseignant.
Je n’ai plus de déprime comme avant et surtout « à ne pas savoir pourquoi ! ».
Cela m’a permis de découvrir une nouvelle facette à explorer dans mon quotidien.
Vidéo d’Eckhart Tolle « Pourquoi cela ne marche pas » sur You Tube … Bonne écoute …
J. L. Montréal, Qc.

« Le décès de mon amie Jacqueline m’a beaucoup affectée »
Depuis notre adolescence, Jacqueline et moi avions les mêmes intérêts : les arts, les voyages et les sports.
Nous nous sommes mariées et nous nous recevions en couple, de temps en temps, pour partager un repas ou encore participer à une activité sportive. Avec les années, nous avons dû espacer nos rencontres à une couple de fois par année car nos carrières et notre vie de famille nous absorbaient toute notre énergie mais nous nous écrivions régulièrement pour nous donner des nouvelles.
Mon amie déménagea à Montréal avec sa famille et ce n’est que vingt ans plus tard, séparée de mon époux, que je décidai de déménager à mon tour dans cette grande ville car la plupart de mes amies y étaient installées depuis une dizaine d’années.
Nous avons repris nos habitudes de nous rencontrer 1 à 2 fois par mois soit pour un repas au resto ou pour aller avec d’autres amies jouer au golf.
Durée réalité lorsque j’ai appris qu’elle avait le cancer du foie.
Le souffle m’a coupé. J’avais une « boule » dans la gorge et j’espérais bien qu’elle allait guérir suite à ses traitements de chimiothérapie ! Qu’il était triste de la voir amaigrie, blême, et affaiblie ! Je ne pouvais me résoudre à la voir ainsi. J’espérais qu’elle se rétablirait mais, hélas, il était trop tard. Elle mourut quelques mois plus tard et cela m’a donné tout un choc !
Elle était une femme, forte et courageuse, qui aidait régulièrement ses parents âgés et ses sœurs. Elle constata avant de mourir qu’elle s’était trop investie physiquement et émotionnellement dans sa famille, qu’elle ne s’écoutait pas quand elle était trop fatiguée, qu’elle dépassait souvent ses limites, qu’elle avait de la difficulté à dire « non » à ceux qui avaient besoin de son aide.
Depuis son décès, je me suis remise en question afin d’écouter davantage mon ressenti, mes malaises, mes moments de fatigue, etc…
Au début de la soixantaine, je suis consciente qu’il me reste moins d’années devant moi que j’en ai déjà de parcourues. Depuis ce triste événement, j’ai décidé de profiter davantage de la vie, de me reposer plus souvent, de voyager une couple de fois par année.
Je fais des marches régulièrement dans le beau parc longeant l’avenue où j’habite.
Dernièrement, j’ai acheté le « grand dictionnaire des malaises et des maladies » écrit par Jacques Martel et je le consulte de temps en temps pour connaître les causes de mes malaises. Cette approche est très intéressante et je la partage avec ceux et celles qui m’entourent.
Josée C. Montréal, Qc.


« Chirurgie. Parenthèse nécessaire »
Comment réagir lorsqu’on vous annonce que vous avez une tumeur dans le colon ascendant et qu’il y a de fortes probabilités pour que ce soit cancéreux ?
Je suis en face du chirurgien, tassée sur ma chaise. Il vient de façon glaciale, clinique, de m’asséner le terrible constat. Le chirurgien poursuit d’un ton impersonnel en m’indiquant qu’il faudra prévoir l’ablation d’un tiers du colon et enlever tous les ganglions. Il précise qu’une semaine d’hospitalisation sera nécessaire ainsi que 3 mois de convalescence.
Ai-je le choix ? Apparemment non ! Le chirurgien, très « homme d’affaires », annonce froidement son diagnostic : « Voilà la situation ! Voilà ce qu’il faut faire ! ». Aucun sourire, aucune empathie suscitée par mes 86 ans. Pas le temps … sans doute.
Je reviens chez moi… Je mets un disque d’Elton John. Je me sers un bon gin tonic. Je chante et je danse sur la musique. Demain sera un autre jour.
L’internet consulté me décrit, en détails avec photos à l’appui, l’intervention au complet. Je ne sais pourquoi cela me rassure. Quelle belle invention !
À l’hôpital, après l’opération, j’ai constaté que se plaindre ne sert à rien. La souffrance n’est, semble-t-il, ici, pas prise en compte, on y est accoutumé, c’est normal. J’ai aussi appris que le temps prend son temps pour s’écouler péniblement, douloureusement parfois. J’ai eu aussi la confirmation que l’on ne peut agir sur le temps. On ne peut le pousser, il est là et …. Il peut être long, très lourd.
J’ai tout fait pour guérir le plus rapidement possible, pour sortir de cette emprise du temps qui s’étire. J’ai prié, bien sûr. Je me suis contrainte à bouger, à recevoir des amis, à leur rendre visite, à échanger sur mon ressenti après cette pénible, mais nécessaire, parenthèse qu’a été cette opération.
Et puis, avec le temps, l’énergie revient. Le temps s’allège. La vie reprend son cours. La guérison est là. On reprend ses esprits et l’on reprend possession de son corps. On finit par oublier cet intermède non choisi. On revit et c’est tellement bon !
Edith, Montréal, Qc.

« Aider une amie m’a procuré beaucoup de bonheur »
Cela m’a pris du temps à me décider de vous écrire mais … peut-être que mon expérience servira à quelqu’un d’autre !
Durant les dix dernières années, j’ai vécu les décès de mes parents ainsi que de mon époux. N’ayant ni frère ni sœur, ni enfant, j’ai constaté que mes amis ont tous été d’un grand soutien pendant cette période difficile de ma vie et je les remercie encore lorsque je les rencontre aujourd’hui.
L’année dernière, ayant pris ma retraite, je me suis consacrée à une couple d’activités communautaires dans ma paroisse. Cela occupait une bonne partie de ma semaine afin de ne pas trop penser à la tristesse qui m’habitait d’avoir perdu ceux que j’aimais.
J’essayais aussi de faire des activités agréables avec mes amis soit aller au cinéma, au théâtre, etc…
Je me suis même inscrite à des cours de yoga et cela me fait beaucoup de bien.
En fait, je ne faisais que ce qui me plaisait jusqu’au moment où une amie a eu besoin de mes services. Elle a fait une chute et a dû être hospitalisée. Je l’ai accompagnée durant son séjour à l’hôpital et, par la suite, dans ses allers / retours à la clinique de physiothérapie. J’ai dû souvent lui remonter le moral, user de patience et de compassion pour l’assister durant tout ce périple car, parfois, cela me fatiguait beaucoup.
Cette expérience m’a apporté que « du bonheur » car je ressentais beaucoup de gratitude de sa part. Elle me disait souvent : « Une chance que tu es là pour m’assister dans cette épreuve car je ne peux pas demander l’aide de mon fils qui est trop occupé par sa carrière et ses enfants, et de plus, mes quelques amies ne sont plus en forme physique pour me rendre ce service ».
J’ai constaté que c’est un cadeau de la vie que de cultiver nos relations amicales car, on ne sait jamais quand cette amitié sera d’un grand secours. Je l’ai vécu et je l’ai apprécié grandement lorsque j’ai eu, moi-même, besoin d’aide.
Cultivez l’amitié où il se présente et ne soyez pas « avare » de votre temps et de vos services si vous avez la santé pour vous impliquer de temps à autre envers ceux qui en ont besoin.
Lucie, Laval, Qc.


« L’écriture est mon exutoire »
Vous ayant déjà rencontré en 2000, j’avais, entre autres, retenu que j’avais des talents d’écriture avec mes lettres « U » dans mes prénoms et nom de baptême.
Sur le coup, j’étais perplexe, mais, après mûres réflexions, assis au bord de la mer à l’été 2001, je m’exécutai.
J’ai pris quelques feuilles blanches et j’ai couché sur celles-ci tout ce qui me venait à l’esprit : mes impressions, mes émotions refoulées, etc… Je me sentais en symbiose avec la nature. Ce fut pour moi une « expérience extatique inoubliable » !
Le lendemain, j’ai relu ce que j’avais écrit et, à ma grande surprise, j’avais l’impression que c’était un autre que moi qui avait écrit toutes ces pages.
Depuis ce jour, j’écris pour mon plaisir. Cela me fait du bien, cela me libère, cela me permet de livrer ce qui se cache au plus profond de moi. Parfois, je brûle mes confidences, parfois je les garde pour les relire en des moments opportuns … Ma conjointe et mes enfants, de temps à autre, deviennent mon public avec lequel je me livre de façon authentique. J’ai vraiment du plaisir à partager mon ressenti. Quand je me sens dépressif, je sors ce livre rempli de mes pensées, réflexions, poèmes et cela me réconforte.
Merci du fond du cœur de m’avoir mis sur cette route remplie de surprises imprévues, d’émotions libératrices, cela m’a redonné un nouveau souffle. Je trouvais ma vie tellement morose et monotone auparavant.
L’écriture m’a révélé un talent que je ne soupçonnais pas, enfoui tout au fond de moi.
Paul, Longueuil, Qc. 

« PATIENTS » un livre qui m’a beaucoup touché …
Ce livre est écrit par Grand Corps Malade, « l’homme à la béquille qui a fait entrer le slam en France par la grande porte », nous entraîne en totale immersion dans le récit de son année en centre de rééducation pour personnes lourdement handicapées. Humour et émotion.

Il y a une quinzaine d’années, en chahutant avec des amis, le jeune Fabien, pas encore vingt ans, fait un plongeon dans une piscine. Il heurte le fond du bassin, dont l’eau n’est pas assez profonde, et se déplace les vertèbres. Bien qu’on lui annonce qu’il restera probablement paralysé à vie, il retrouve peu à peu l’usage de ses jambes après une année de rééducation.
Quand il se lance dans une carrière d’auteur-chanteur – slameur, en 2003, c’est en référence aux séquelles de cet accident – mais aussi à sa grande taille (1,94 m) – qu’il prend le nom de scène de Grand Corps Malade.
On connaît l’immense succès qui suit : trois albums plébiscités par le public et la critique, une distinction de Chevalier des Arts et des Lettres, qui récompense la qualité de sa plume, toujours subtile et surprenante. Dans ses chansons pleines de justesse, telles À l’école de la vie, Roméo kiffe Juliette, Éducation nationale, ou encore Rachid Taxi, l’artiste soulève le voile d’une réalité sociale et politique singulière. Il raconte, avec humour, dérision et beaucoup d’émotion, les douze mois passés en centre de rééducation et relate les aventures tragiques, mais aussi cocasses, vécues par lui et ses colocataires d’infortune.
Ce livre m’a beaucoup touché car il est la preuve qu’avec le courage, la détermination et la patience, on peut réaliser l’impossible.
Denis, Longueuil, Qc.

« Informations d’un cardiologue »
Beaucoup de gens disent qu’ils ne veulent pas boire avant d’aller se coucher pour ne pas être obligés de se lever la nuit pour aller aux toilettes.
Sa réponse fut : Quand vous êtes debout ou assis, la force de gravité retient l’eau dans la partie inférieure de votre corps. C’est la raison pourquoi les jambes peuvent enfler.
Quand vous êtes couché, la partie inférieure de votre corps cherche un équilibre avec les reins. Alors les reins éliminent l’eau ensemble avec les déchets parce qu’à ce moment-là c’est plus facile. L’eau est essentielle pour éliminer les déchets de votre corps.
J’ai demandé au cardiologue quel moment est le plus favorable pour boire de l’eau.

Il m’a répondu :
Boire de l’eau à des moments bien définis en maximalise l’efficacité dans le corps.
2 verres d’eau juste après le réveil active les organes internes.
1 verre d’eau 30 minutes avant chaque repas améliore la digestion.
1 verre d’eau avant de prendre un bain (ou douche) diminue la tension artérielle.
1 verre d’eau avant de vous coucher, évite un accident vasculaire cérébral ou cardiaque.
Boire de l’eau avant de vous coucher évite d’avoir des crampes dans les jambes pendant la nuit. Vos muscles des jambes, quand il y a des crampes, sont notamment en recherche d’eau et d’humidité.
ASPIRINE (Source : Clinique Mayo) Le Dr. Virend Somers est un cardiologue de la clinique Mayo. Il a écrit un article important dans le magazine American College of Cardiology. La majorité des crises cardiaques se passent le jour, entre 6.00 heures du matin et midi. Avoir une crise cardiaque la nuit, au moment où le coeur doit fonctionner à son rythme le plus calme, signifie que quelque chose d’inhabituel s’est passé. Somers et ses collègues essaient de démontrer depuis dix ans déjà que le coupable c’est l’apnée du sommeil.
Si vous prenez une aspirine tous les jours, le mieux c’est de la prendre le soir.
La raison : l’aspirine a une « mi-durée » de vie de 24 heures. Donc : si la plupart des crises cardiaques se passent au petit matin, l’aspirine dans votre corps sera alors au plus fort. Les Aspirines peuvent se garder pendant de longues années dans votre petite pharmacie. En vieillissant elles ont l’odeur du vinaigre.
Pourquoi garder des aspirines sur votre table de chevet ? En dehors de douleurs dans le bras gauche, il y a encore d’autres symptômes signalant une crise cardiaque : des douleurs intenses dans le menton (et la maxillaire), la nausée et une forte transpiration… Mais ces symptômes se présentent moins souvent.
Notez : lors d’une crise cardiaque, il est possible que vous n’ayez AUCUNE douleur dans la poitrine.
Si jamais vous vous réveillez à cause de douleurs intenses dans la poitrine, avalez immédiatement deux aspirines avec un peu d’eau. Appelez ensuite les urgences et prévenez un(e) voisin(e) ou membre de famille qui habite à proximité.
Dites au téléphone : « crise cardiaque » et également que vous avez pris 2 aspirines. Asseyez-vous sur une chaise près de la porte d’entrée et attendez les secours.
SURTOUT, ne vous couchez surtout pas. Transférez ce message aux intéressés.
Agathe, Montréal, Qc.

« Mon témoignage se veut le témoignage d’une vie, surtout un hommage à la vie »
Toutefois, on ne témoigne pas de plus de trois quarts de siècle en un seul mot … mais, en choisir quelques-uns me semble une bonne idée.
À ma naissance, j’ai baigné dans la somptueuse NATURE du bas du fleuve, voilà mon premier mot choisi.
La NATURE et moi sommes liées d’une manière indescriptible.
Elle nourrit mon âme, apaise mon coeur,
me sert de confidente presque tous les jours.
Je vous écris, et de ma fenêtre-patio, la vue de la montagne givrée m’émeut au point que les larmes me montent aux yeux.
Cette NATURE introduit nécessairement mon deuxième mot, la BEAUTÉ. La BEAUTÉ a marqué d’une façon indélébile toutes les sphères de ma vie.
La BEAUTÉ me contamine quotidiennement et je ne me vois pas vivre sans cette étincelle merveilleuse qui éclate en une PASSION aussi envahissante qu’inexplicable. La PASSION est venue pour moi avec le SUBLIME DON de la VIE….
Une fée… un ange… un guide peut-être !
Tous les trois ont probablement insufflé ce puissant courant d’ÉMERVEILLEMENT et de CURIOSITÉ qui
m’habite depuis mon arrivée sur terre.
Je fus accueillie ici-bas GRÂCE à mes parents dans un milieu plus que modeste car je suis la quatorzième de quinze enfants.
Ce CADEAU de VIE est INESTIMABLE.
Comment ne pas être à la RECONNAISSANCE après tant de visibles soutiens et d’invisibles manifestations d’AMOUR INFINI de la part de l’UNIVERS aussi mystérieux qu’impalpable à nos cinq sens limités…..
Pour terminer l’ultime mot qui m’absorbe complètement ces années-ci, c’est la CONSCIENCE, mot indéfinissable, sentiment intérieur de toucher une sensation qui possiblement nous relie à la SOURCE de toute VIE !
La CONSCIENCE provoque dans mon COEUR une attitude de JOIE et de GRATITUDE !
En résumé, il s’agit pour chacun d’entre nous d’ACCEPTER et de VIVRE pleinement nos choix comme une musique écrite par notre ÂME.
Puisse ma ligne participer au GRAND CONCERT COSMIQUE …
Pour plus amples détails sur ma musique (avec ses silences, ses dièses, ses bémols etc…),
j’ai publié en 2013 un RECUEIL de POÉSIE intitulé
“DE MON COEUR À VOTRE COEUR”, esquisse de mon cheminement
Françoise Bélanger, Victoriaville, Qc.

« Très beau texte plein de philosophie »  d’un auteur inconnu
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son coeur
Sans remord, sans regret, sans regarder l’heure
Aller de l’avant, arrêter d’avoir peur
Car, à chaque âge, se rattache un bonheur.
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son corps
Le garder sain en dedans, beau en dehors.
Ne jamais abdiquer devant un effort.
L’âge n’a rien à voir avec la mort.
Vieillir en beauté, c’est donner un coup de pouce
À ceux qui se sentent perdus dans la brousse
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et qu’il y a toujours quelqu’un à la rescousse.
Vieillir en beauté, c’est vieillir positivement.
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d’antan.
Être fier d’avoir les cheveux blancs
Car, pour être heureux, on a encore le temps.
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec amour
Savoir donner sans rien attendre en retour
Car, où que l’on soit, à l’aube du jour
Il y a quelqu’un à qui dire bonjour.
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec espoir
Être content de soi en se couchant le soir.
Et lorsque viendra le point de non-recevoir
Se dire qu’au fond, ce n’est qu’un au revoir.
Josée, Trois-Rivières

« Merci beaucoup pour les toutes informations que j’ai découvertes sur votre site web.
Je les mets en pratique et les partage avec joie ».
Monique, Mtl.


Découverte de la numérologie …

« Venant de France, je rencontre Christiane FORTIER.
Très vite, la joie de vivre de Christiane, sa générosité, sa créativité dans plusieurs domaines artistiques et son expertise en numérologie me séduisent.
Je vais passer une semaine à suivre une initiation à la numérologie avec elle. Entre les ouvrages qu’elle a écrits et son coaching, je vais découvrir un certain nombre de données me concernant puis celles de mon entourage et, enfin, je vais les appliquer à un panel plus large. Je comprends que l’autre est différent de moi, je comprends certaines réactions, je comprends que, dans certains cas, il n’y a rien de personnel contre moi, juste une approche et une expression de la vie différente. Je comprends mieux un certain nombre de réaction de mon mari, de mes enfants, de ma famille, de mes amies. En les comprenant mieux, je les aime plus car je ne les juge plus en fonction de mes propres critères, par rapport à mon propre cadre de référence.
Partie vivre à Hong Kong, ses ouvrages étaient dans mes valises. Je me suis entraînée à réaliser plusieurs thèmes, j’en ai discuté avec elle pour vérifier l’exactitude de mes calculs et de mes interprétations. Chaque échange me nourrissait davantage, chaque échange donnait lieu à une meilleure compréhension. Par la suite et encore aujourd’hui, chaque fois que je dois travailler avec quelqu’un, je regarde ses données personnelles et cela m’aide beaucoup à comprendre les enjeux de la personne à travers la relation.
Ma rencontre avec Christiane FORTIER est le commencement d’une belle évolution pour moi particulièrement dans l’accueil de l’autre.
Votre demande peut être très large, le couple, la famille, le travail, le lieu d’habitation, la bonne date pour entreprendre quelque chose, Christiane saura vous accompagner avec la bienveillance, la lumière et le grand professionnalisme qui la caractérise ».
Anne Lise RELLET, Pondicherry, Inde

Je souhaite partager avec vous mon expérience de Vie.
» Il y a 10 ans, je suis chez mon psychothérapeute (ancien prêtre) qui me pose cette question :
« Face à toutes les épreuves que vous avez traversé, qu’est ce qui vous a permis de tenir? »
Je réponds : « cette boule là, entre ma poitrine, ce soleil intérieur qui brille en moi ».
Quelques années plus tard, je suis assise, seule, dans ma cuisine, en fumant tranquillement une cigarette, quand j’entends : » Crois tu en moi ? As tu la foi en moi ? »
Je suis déroutée, surprise, je crois un instant avoir une hallucination auditive alors spontanément, je réponds : « Accordez moi un délai de réflexion de 24h pour réfléchir à la question « .
Je n’y pense plus croyant avoir rêve mais le lendemain, au même endroit et à la même heure, j’entends de nouveau clairement la même question. Les larmes me montent aux yeux.
Je réponds intuitivement : » Oui, je crois en toi, j’ai la foi en toi » et j’entends : » En es tu sûre ? »
Je réponds « Oui ».
Alors, pendant des années, une série de tests vont m’être envoyés pour que je sois bien sûre d’avoir une foi inébranlable qui me porte. Tout y passe: mes enfants, mon travail, mes relations amoureuses, ma sécurité matérielle, l’argent, tous les sujets importants pour moi.
Accrochée à ma foi, je sais que toutes ces épreuves sont là pour renforcer ma foi, pour apprendre quelque chose de moi, le conscientiser pour me purifier, pour évoluer. Je sais que je dois rester concentrer, avec la ferme volonté de m’élever vers la lumière.
Depuis toutes ces années, je demande à être purifiée, guidée et inspirée par la Vie, par ma lumière intérieure, celle de mon âme qui sait mieux que moi ce qui est bon pour moi. Aujourd’hui, je vis en Inde ou j’expérimente l’élévation de conscience à travers l’enseignement de Sri Aurobindo et de Mère.
Je partage tous les jours sur mon site Facebook « Cœur en Soi » mes réflexions ainsi qu’un contenu plus pédagogique nommé « À l’école spirituelle« . Je pratique le yoga et la méditation avec la foi qu’en travaillant sur moi, je me fais du bien et je fais du bien autour de moi.
Ma Vie est devenue ma prière, ma Vie est mon cadeau au monde…
Anne Lise Rellet, Pondicherry, Inde

Après avoir lu le livre « La cité de la joie
Roman de Dominique Lapierre paru en 1985 par les Éditions Robert Laffont, j’ai quitté ma solitude pour m’impliquer dans ma région (Laval) à faire du bénévolat.
Depuis ce jour, je me sens « utile » et surtout nourrie intérieurement.

Ces 3 jours, par semaine, me donnent davantage le goût de vivre encore dans l’instant présent au lieu de ruminer qu’il ne me reste que quelques mois ou années à vivre. J’ai constaté que j’avais encore assez de forces pour les partager avec ceux et celles qui m’entourent.
Mes journées de « solitude » et de « nostalgie » sont maintenant derrière moi.
Merci la vie d’avoir mis ce livre sur ma route. Cela m’a sorti de la déprime.
J’ai su dernièrement que le livre avait été adapté librement en film réalisé par Roland Joffé en 1992. J’ai trouvé sur internet le résumé et vous le partage :
« Le personnage central, Paul Lambert, prêtre français dans le livre, est inspiré de la figure de deux religieux travaillant dans les bidonvilles de Calcutta : le père François Laborde et Gaston Grandjean, missionnaire suisse, qui a changé son nom en Gaston Dayanand en adoptant la nationalité indienne en 1992. Entre autres mérites, les ponts qu’il établit entre les différentes religions qui se côtoient dans ce bidonville de Calcutta sont un merveilleux message d’espoir.
À ce jour le livre a été traduit en trente et une langues et son tirage dépasse plus de quarante millions d’exemplaires. Dominique Lapierre a créé une fondation internationale pour scolariser les enfants et ouvrir des dispensaires, entre autres.
Je vous suggère fortement de lire ce livre ou de voir le film.
On dit que ce livre est plus humain qu’humanitaire. »
Une belle expérience artistique à partager …
Un rêve d’enfance devenu réalité !
Mes cours de piano sont un cadeau que je me suis offert à l’aube de mes 50 ans
Et oui, il n’est jamais trop tard…
À chaque semaine, je vais à la rencontre de celle qui contribue à la réalisation de ce rêve.
Ces cours sont une pause dans ma semaine, je m’offre du temps pour moi et pour exploiter une autre dimension de ma personnalité !
Calme, patiente, zen, Andrée-Anne nous accompagne dans notre apprentissage en respectant les besoins propres à chacun.
Son approche pédagogique personnalisée nous permet d’apprendre rapidement, sans vraiment sentir les efforts nécessaires à cet apprentissage. Je crois qu’Andrée-Anne réussit tout cela avec nous, grâce à ses grandes compétences professionnelles et ses aptitudes humaines.
Après à peine un an de cours, je réussis à interpréter des pièces complètes.
Je n’y crois pas encore !
Merci à Andrée-Anne pour tout et j’espère pouvoir continuer avec toi très très longtemps !
Guylaine, CPA, CA. Québec

Merci pour le vidéo d’Eckhart Tolle sur le « lâcher prise ».
Je l’ai beaucoup apprécié.
Depuis 2 ans, je n’arrivais plus à me concentrer sur mon nouveau travail que j’ai de la difficulté à maîtriser.
La compagnie pour laquelle je travaille a fait des coupures au niveau des postes de direction et j’ai été changé de département. J’ai trouvé cela très difficile et cela m’a beaucoup déprimé.
J’ai découvert votre site web et, après avoir fouiné sur les sites web que vous suggérez d’écouter, j’en ai trouvé quelques-uns qui m’ont aidé à apprivoiser mieux la vie et mon quotidien s’améliore petit à petit.
Merci beaucoup
Philippe P. Montréal

« J’adore toutes ces belles couleurs automnales qui s’installent doucement. Je prends le temps de m’installer sur mon balcon confortablement afin d’admirer leur superbe beauté qui passera bientôt aux souvenirs »
Je profite de quelques minutes de repos pour exprimer un événement qui m’est arrivé au printemps 2015 et qui a changé ma façon de vivre.
Suite au décès de ma voisine que je connaissais depuis une dizaine d’années, j’ai décidé de m’impliquer dans un organisme afin d’aider des gens dans le besoin et ce, à mon rythme, quelques heures par semaine.

Auparavant, je ne trouvais jamais le temps d’aider qui que ce soit.
Je le mettais dans d’autres activités qui, dans le fond, ne me rapportaient rien intérieurement.
J’ai été d’une précieuse aide pour mon amie car je l’ai accompagnée jusqu’aux derniers jours de sa vie.
Elle m’a remerciée profondément de l’avoir écoutée et surtout de l’avoir assistée dans ses périodes difficiles.
Cela m’a beaucoup touchée. Je me suis sentie « utile ».
Maintenant je suis plus à l’écoute de mon environnement. J’ai beaucoup de bonheur à offrir mes services
Jeanne G, Brossard, Qc

L’ARGILE BLANCHE
J’ai commencé à prendre de l’argile blanche et je suis fort heureux des résultats. Je me sens beaucoup mieux. J’ai repris mes marches quotidiennes, mes activités professionnelles et je peux affirmer maintenant que j’ai repris goût à la vie. J’avais vécu une couple d’épreuves (décès et problème de santé) qui m’avaient minée intérieurement et physiquement.
Merci beaucoup de tous vos partages car ils permettent à beaucoup de personnes de trouver des ressources nécessaires pour régler leurs problèmes.
Benoît, St-Lambert, Qc.

« J’ai retardé à vous écrire afin de partager mon expérience qui m’a complètement transformé.
Ma famille, mes amis et mes collègues de travail ne me reconnaissent plus.
Mes valeurs ont changé et, maintenant, je mets mes priorités aux bons endroits.

Suite à un anévrisme, j’ai été opéré à temps et j’ai eu une période de convalescence qui m’a fait beaucoup réfléchir sur la « vie ».
Évidemment, pour le moment, je ne peux plus pratiquer les sports que je pratiquais antérieurement dont le tennis que j’aimais bien. J’ai modifié mes loisirs et j’en ai profité pour lire davantage. J’ai pu constater à quel point ma famille (ma conjointe et mes 2 gars) sont importants et je m’implique davantage à créer des activités avec eux.
D’ailleurs, j’ai regardé quelques sites web (Dr. Wayne Dyer et Eckhart Tolle) que vous suggérez sur votre site et cela m’a beaucoup touché. Certaines lectures m’ont aussi accompagné pendant toutes ces semaines de rétablissement. Il est évident qu’après ce genre d’opération, les périodes de silence et de solitude m’ont fait réfléchir sur mes priorités dans la vie.
Je peux avouer franchement, moi qui ne croyait à rien avant mon opération, j’ai ressenti un bien-être intérieur, quelques jours après mon opération, que je ne peux exprimer avec des mots.
C’est comme si cet abrupt changement de vie avait favorisé une certaine ouverture intérieure pour ressentir l’essentiel de la vie.
Paul-André, Mascouche, Qc.

Un petit mot sur l’organisme « Les Petits Frères » L’organisme a pour mission d’accueillir et accompagner les personnes seules du grand âge, afin de contrer leur isolement, en créant autour d’elles une famille engagée et fidèle jusqu’à la fin de leur vie. La mission me rejoint au niveau de mes valeurs : accompagner, écouter, partager, créer des liens. Madame Béatrice Picard est la marraine des Petits Frères. Mon engament, c’est d’accompagner des personnes âgées vivant de la solitude et de l’isolement. Je me sens privilégiée d’avoir la chance d’accompagner ces personnes ayant un vécu appréciable à qui je peux apporter, qui me nourrissent de leurs expériences. Le bénévolat fait partie de mon cheminement personnel et donne un sens à ma vie. J’aime transmettre ce que j’ai reçu. Quand je donne, » je me renouvelle » . Ces rencontres permettent à la personne accompagnée, de parler de ce qu’elle vit, de ses secrets, d’échanger sur le sens de la vie, de partager des moments difficiles, de s’exprimer en toute confiance et en plus, participer à de belles activités en groupe et des sorties agréables. J’encourage toute personne qui désire apporter du bonheur aux personnes âgées, de s’adresser aux Petits Frères de sa région.
Lorraine Renaud, St-Eustache, Qc.

RÉALISER SES RÊVES
D’aussi loin que je puisse me souvenir, j’ai toujours voulu écrire un livre. C’était le rêve de ma vie.
Je ne pouvais pas imaginer terminer ma vie sans la réalisation de ce rêve.
Aujourd’hui, j’en suis rendue à la transcription de celui-ci et j’ai de la difficulté à exprimer toute la joie et la satisfaction profonde juste à l’idée que, si Dieu le veut, mon livre sera bientôt terminé.
Tous ces moments où je prenais la peine de m’asseoir et m’arrêter pour réaliser ma créativité littéraire.
Je pense sincèrement que dans la vie, il est très important de faire de petites actions quotidiennes pour arriver un jour à réaliser nos rêves.
Que serait la vie sans ceux-ci ?
Cela permet à notre flamme intérieure de demeurer bien allumée et cela permet aussi d’égayer nos journées.
Ne serait-ce que seulement par de tous petits gestes quotidiens, l’important c’est de persévérer dans l’accomplissement de ceux-ci.
Ainsi, un rêve devient réalité lorsque nous persévérons sur la voie de la réussite, car sans actions je crois qu’il n’y a pas grands événements qui peuvent se créer.
Soyons donc proactifs vers la réalisation de nos plus grands rêves et la vie nous semblera toujours de plus en plus belle!
Annette Côté, Québec, Qc.

La découverte d’Ernest Chu
« Après avoir parcouru votre site web, j’ai apprécié les nombreux livres suggérés en lien et je tiens à vous mentionner 3 livres qui m’ont beaucoup plu :
« La monnaie de l’âme » d’Ernest Chu, « Le pouvoir de la pensée constructive » d’Emmet Fox et « Messages de l’esprit » de Colette Baron-Reid.
De plus, j’ai découvert sur votre site plusieurs informations qui ont retenu mon attention et je continuerai ma recherche pour en découvrir davantage au cours des prochains mois.
Merci beaucoup de nous partager vos connaissances ».
Nicolas, Ottawa

Particulièrement, aujourd’hui, j’apprécie la Vie qui fut la mienne jusqu’à ce jour.

Pourquoi ? Car simplement la vie m’a conduite vers des connaissances qui me permettent de mieux vivre les événements qui sillonnent ma vie en tant qu’être humain, avec des événements parfois difficiles qui me font grandir spirituellement.
Je sais que j’ai maintenant une meilleure conscience de moi-même, je m’assume pleinement, je suis responsable de moi-même et je m’en félicite car ce fut un dur labeur quotidien sur la maitrise de mes pensées qui m’a conduit à une meilleure gestion de mes émotions.
Vaincre mes vieux réflexes automatisés, vivre le moment présent et l’assumer totalement furent une belle victoire, tout dans la présence à soi-même sans égo, dans l’humilité et la simplicité.
Comment tout ça peut se faire ? En mettant en pratique une respiration tibétaine qui calme le mental et le corps. L’esprit devient alors calme comme un beau lac paisible et permet d’accéder à un nouvel état de conscience. Se libérer des tracas qui embrouillent notre esprit est un immense bienfait, en plus d’augmenter une capacité de concentration afin d’accéder ainsi à une compréhension de la vie et à un réservoir infini d’inspiration. Tout cela, facilement, avec discipline, bonne conscience et présence à soi-même.
Voici donc cette technique :
Inspirez par le nez en remplissant d’abord le ventre, le thorax, la poitrine en remplissant le corps d’oxygène au maximum.
Retenez votre inspiration 2 à 3 secondes (apnée), puis expirez doucement par la bouche tout en gardant la mâchoire bien molle sans tension.
Pendant l’expiration, soyez conscient de votre corps, de votre aura, du champ magnétique qui vous entoure, laissez-vous envelopper de cette belle énergie qui vous communique ce dont vous devez savoir, comprendre à ce moment-ci de votre vie, laissez-vous inspirer, informer …
Pratiquez quotidiennement cette respiration calme le mental et le corps, permet d’accéder à une source d’informations selon le besoin du moment, sur l’orientation à prendre ou le meilleur comportement à adopter.
Colette Gagné, Québec

« L’événement qui a changé ma vie fut le décès de ma conjointe« 
3 ans ont passé et j’arrive à me souvenir de tous les détails comme si c’était hier.
Nous menions une vie simple sans trop de problèmes majeurs jusqu’à ce jour fatal.
C’est arrivé pendant le weekend de l’Action de Grâce.
Ma femme s’est écroulée sur le plancher de la cuisine et n’a pas repris conscience.
Elle a fait un infarctus.
En cette période, elle était très fatiguée et pensait que c’était dû aux mois précédents où elle et sa sœur s’étaient occupées de vendre la maison familiale et de placer leur mère dans un CHSLD.
Elles avaient accompagné leur mère dans ce grand changement de vie.
Lorsque ma femme revenait à la maison, elle me semblait triste et ne s’exprimait pas beaucoup à ce sujet.
Elle était très discrète et avait beaucoup de difficultés à exprimer ses émotions.
Avant son entrée dans un CHSLD, sa mère avait de la difficulté à marcher depuis une vilaine chute sur la glace et après avoir subi 2 opérations dans la colonne vertébrale. Elle avait besoin de soins réguliers d’un physiothérapeute et des services du CLSC.
Après quelques semaines de discussions, ma femme et sa sœur ont réussi à convaincre leur mère de vendre la maison et de l’installer dans un centre de soins à longue durée.
Enfin cette étape passée, mon épouse avait manifesté son épuisement et elle se tracassait beaucoup si sa mère s’adapterait à cette transition car cette dernière avait vécu 40 ans au même endroit.
Aujourd’hui avec le recul, je suis persuadé qu’elle s’était trop investie physiquement et émotionnellement dans toutes ses démarches.
Cette épreuve m’a rapprochée de ma fille. Elle était alors âgée de 18 ans, n’était pas souvent à la maison car elle avait beaucoup d’activités sportives et sociales. Elle a ralenti son rythme et s’est mise à cuisiner et à s’occuper de quelques tâches ménagères. Je revenais du travail plus tôt qu’à l’habitude et nous discutions de notre journée, etc… Son copain venait plus souvent à la maison et m’aidait dans diverses activités : bricolage, informatique, etc … Cela me faisait du bien de ne pas être « seul » lorsque j’étais à la maison.
Sachant que rien n’arrive pour rien, je peux dire que depuis le décès de mon épouse, j’arrive à être heureux en vivant « un jour, à la fois » et ce, le mieux que je peux. Sa mort m’a rapproché de ma fille et tous ensemble, nous essayons de profiter du « moment présent ».
Depuis 3 ans, à quelques reprises, j’ai pensé vendre la maison mais, après réflexion, ma fille, encore aux études, aura terminé ses études universitaires l’an prochain et se mariera par la suite. Ce sera une étape nouvelle pour elle et pour moi, le moment favorable de quitter cet endroit où j’ai pourtant été très heureux. J’arrive à trouver le bonheur dans les petits choses de la vie : une bonne marche en nature, un peu de vélo, un bon repas au restaurant avec mes amis(es), un voyage de temps en temps, etc …
Denis, Gatineau

Nos expériences de vie nous permettent de réagir différemment afin d’entrevoir un avenir meilleur.
À la suite d’un accident d’automobile, j’ai vécu 2 mois d’hospitalisation, 2 mois dans un centre de convalescence et, de retour à la maison, j’ai eu pendant 3 mois des soins hebdomadaires par le CLSC parallèlement aux soins de physiothérapie dans une clinique médicale.
Tout ceci s’est passé en 2010.
Avec le recul, j’ose dire que ce fut bénéfique pour me permettre de faire radicalement un changement de carrière car je ne suis pas retournée à mon travail précédent (gestion – services financiers), même si j’étais bien appréciée.
Pendant tous ces mois, j’ai eu amplement le temps de réfléchir sur ma « vie ».
J’avais le choix soit de retourner à mon poste devenu trop routinier et qui me grugeait toutes mes énergies, soit d’entreprendre un nouveau travail plus créatif et ressourçant.
Un ami qui me connaissait bien m’a offert un poste en marketing dans sa compagnie. Ce fut vraiment un changement radical de secteur. J’ai suivi, tout d’abord, une formation de plusieurs mois afin d’être apte à ce que me demandait ces nouvelles responsabilités.
Après quelques années, je suis très satisfaite de mon travail très varié et je suis beaucoup plus heureuse.
Je prends le temps de m’évader une couple de fois par semaine pour aller soit au théâtre ou au cinéma ou encore au resto avec des amis.
J’ai constaté que j’ai beaucoup plus d’énergie qu’avant.
Avant mon accident, je rentrais chez moi, épuisée, me couchais tôt et n’étais pas motivée à entreprendre quoique ce soit. Ma vie était devenue terne.
Cette période passée, je suis maintenant très positive face à mon avenir.
J’ai l’impression de vivre une « nouvelle vie ».
Si vous êtes lasse de votre travail de routine, je vous encourage à changer …
N’attendez pas de vivre un événement marquant pour vous faire changer de métier ou de profession. OSEZ ! Julie, St-Hyacinthe, Qc.

Merci beaucoup pour tous les beaux partages présentés sur votre site.
Il y en a plusieurs qui nous ont fait profondément réfléchir …
Nous avons beaucoup apprécié parmi les sites web suggérés d’écouter : celui d’Eric whitacre’s virtual choir – Lux Aurumque – avec toutes ces belles harmoniques ! et celui aussi du Dr. Eben Alexander, neurochirurgien (expérience de mort imminente – coma)
Merci encore de nous partager vos découvertes.
Lucie et Jim, Toronto


Partage de Pierrette Vallée, Ste-Rose, Qc.
(ses paroles m’ont été inspirées)
« S’assurer d’avoir acquis leur confiance…les enfants cristal en ont besoin !
Le temps à prendre pour obtenir leur confiance est nécessaire, c’est le point d’ancrage entre eux et nous.
Ils vous semblent inatteignables, cela est une illusion.
Dès que vous ne serez plus une menace pour eux, ils vont vous laisser entrer dans leur espace, chacun à son rythme.
Il faudra que vous restiez vigilants car vous voudrez probablement gagner du temps par la suite en croyant que leur confiance vous est acquise de façon durable.
Sachez que ce sont des êtres sensibles au point où vous ne pouvez même pas l’imaginer.
Ils sont comme du cristal, brillants, étincelants, et ils peuvent se refermer très rapidement et s’opposer en guise de protection.
Un de leurs ennemis et le pire, c’est cette façon qu’ont les adultes de vouloir les faire performer le plus rapidement possible.
Installez-les dans un cadre de contrainte et vous les perdrez au fil du temps.
Rappelez-vous qu’ils viennent d’un espace où le temps n’existe pas.
Sachez aussi qu’ils viennent d’un espace où le mode de communication est plus proche de la télépathie pour employer un terme que tous peuvent comprendre.
Tout en ne pouvant pas utiliser ce mode de communication parmi nous, ils en ont toutes les capacités.
Ils ne comprennent pas rapidement notre mode de communication.
Ils y accèdent finalement mais avec un délai qui apparaît à plusieurs comme étant problématique.
On cherche alors à les cataloguer, à leur faire reprendre leur retard.
Ce qu’il faut c’est leur permettre d’être entourés de gens confiants, désireux de les faire progresser en tenant compte que ce sont des êtres plus grands que nature, ce sont des adultes dans des corps d’enfant.
Un autre de leurs ennemis serait de les considérer comme des prodiges.
Ils sont des enfants au même titre que tous les autres enfants avec une banque de ressources en réserve qui pourra servir la collectivité dans la mesure où on les aura guidés sainement tout au cours de leur croissance et leur développement.

Ce sont des êtres lumineux qui arrivent avec une mission toute particulière, celle de faire vibrer les êtres dans une énergie d’amour et ainsi donc, d’amener la paix chez les êtres de la terre, de redonner à cette planète l’essence de la vie éternelle, de la vie divine qui la relie à tous les êtres de cet espace comme à leurs grands-frères et grandes-soeurs de d’autres espaces.»


De retour d’Europe, je prends quelques instants pour manifester mon grand bonheur de pouvoir travailler sur les 2 continents.
Au début, le défi était de taille, mais avec plusieurs mois de persévérance et de collaboration, mon travail s’est allégé et je peux maintenant affirmer qu’il faut, dans la vie, oser entreprendre nos rêves les plus fous pour ne pas s’éteindre à petits feux. Découvrir sa passion nous rend plus efficace et satisfait de soi.
Je ne pensais jamais pouvoir vivre ce que je vis en ce moment, surtout après les dernières années de turbulence de toutes sortes (travail, famille, santé).
C’est comme si je vivais une autre vie maintenant … la lumière au bout du tunnel.
Il ne faut jamais désespérer.
Jean-Paul, Montréal


Merci pour vos partages …

 » Les informations sur votre site m’ont été très utiles.
Parmi celles-ci, j’ai commencé à pratiquer l’analyse de comportement expliquée sur votre lien « Techniques diverses »  (analyse pythagoricienne) et après plusieurs analyses, cela m’a permis de mieux comprendre mon père, mon frère, mes 2 sœurs ainsi que quelques amis. Dorénavant, je serai plus tolérante envers eux. J’ai compris ce qui me dérangeait lorsque j’étais en leur présence. C’est vraiment impressionnant de constater les forces et les faiblesses de chacun et de trouver les moyens d’équilibrer tout cela.
J’expérimenterai vos autres techniques mentionnées qui me paraissent très efficaces.
Je vous remercie de vos bons conseils.
Judith C. Joliette, Qc.
                                                                                        


« Je vous remercie pour toutes les informations que vous mettez sur votre site ainsi que sur Facebook.
J’apprécie beaucoup les pensées ainsi que les sites web suggérés.
Je commence à apprivoiser les enseignements offerts en numérologie.
Ayant vécu une dépression suite à la perte de mon travail (mars 2017), je me suis remise en forme tranquillement grâce à mes amies qui m’ont beaucoup soutenue et aidée de diverses manières.
C’est là que j’ai constaté à quel point l’amitié sincère est importante dans la vie. Suite à mon expérience, je consacre plus de temps à cultiver l’amitié et l’amour qui m’entourent. J’ai organisé ma vie différemment.
J’ai repris le travail dans une autre entreprise et consacre 2 soirées par semaine à des cours d’art que je ne pensais pas reprendre avant ma retraite.  Je me porte à merveilles et surtout je suis plus optimiste. »
MERCI BEAUCOUP.
Lucie B. Longueuil, Qc.


« Après de longues heures de recherche en cette période de fêtes de noël, d’un infirmier pour les soins de mon époux récemment sorti d’une hospitalisation, j’ai enfin une réponse positive d’un infirmier de mon quartier, le 13e arrondissement de Paris.
En consultant son adresse, il me semble le connaître. Il se présente à mon appartement et je lui demande : « vous n’avez pas soigné une dame qui avait été brûlée au troisième degré suite à un incendie dans son appartement, elle était hébergée dans un hôtel non loin de votre cabinet.

« Oui dit-il je m’en souviens »
 « Et bien cette dame c’est moi et vous êtes dans l’appartement en question. De plus voilà le premier sapin de Noël que j’ai acheté, depuis cet événement et que ma fille Myrna a décoré. »
C’est elle qui a fait les gestes et intervention indispensable pour sécuriser son père et appeler les pompiers. Quelques mois plus tard elle a reçu les félicitations insignes pour « Actes de courage et de dévouement » grâce à son sang-froid lié à sa profession de maître nageur sauveteur.
Ce témoignage illustre bien cette pensée de Christiane «La vie met sur notre route des personnes et des événements… sachons être à l’écoute de ces moments magiques ».
Maura Michalon, Paris, France

 » Ayant été imprégnée positivement depuis des décennies par les exercices de relaxation et de respiration ainsi que par la chant et l’écoute de la musique, il me fait plaisir de vous partager deux passages dans le précédent livre de Dr. Gaétan Brouillard intitulé « La santé repensée« .
Ces passages mis en pratique pourront sûrement profiter à plusieurs d’entre vous. »

Un exercice de respiration favorable au cœur :
 » Inspiré de la tradition soufie, l’exercice suivant peut servir à titre préventif ou curatif, il aura pour effet de recréer une cohérence cardiaque tout en favorisant l’équilibre émotionnel et en diminuant le stress en général.

Prenez 7 respirations abdominales conscientes, profondes et lentes.
Portez votre attention sur la région du cœur et de la poitrine en ressentant et en visualisant une plus grande quantité d’oxygène qui alimente le cœur. Les artères coronaires qui nourrissent le cœur laissent s’écouler avec fluidité un sang lumineux dans toute la masse musculaire. Le cœur se sent fortifié.
Avec les paumes de mains placées sur la poitrine, percevez la chaleur qui se bâtit dans votre poitrine et ressentez l’amour et la gratitude qui y résident, pour vous-même et pour les autres. »

Notre univers sonore :
« La musique favorise les connexions des différentes zones cérébrales et agit comme un véritable neuro-stimulateur. Les capacités cognitives sollicitées par la musique sont nombreuses. Des études démontrent ses nombreux bienfaits : elle renforcerait la plasticité cérébrale, la mémoire, la capacité d’apprentissage, l’intelligence émotionnelle et l’empathie. Elle diminuerait le stress et son hormone, le cortisol, et elle ralentirait même le vieillissement cognitif. La musique est donc plus qu’un art ou un loisir ; elle est un véritable outil thérapeutique. Elle orchestre l’activité de nos nombreux circuits cérébraux et renforce le dialogue entre les aires cérébrales. Certaines études avancent même qu’elle aide au traitement des troubles de la motricité, du langage et de la mémoire.

La musique douce favorisera la paix intérieure alors que les musiques à rythme rapide éveillent et stimulent les centres inférieures (abdomen et jambes) qui sont prêts à danser. Certaines musiques comme le heavy metal perturbent à leur insu beaucoup de jeunes qui croient pourtant en son pouvoir stimulant positif. En revanche, la musique classique accroît le pouvoir de concentration et diminue la dépression chez les jeunes. »

MERCI POUR TOUS VOS PARTAGES
ILS ONT ÉTÉ PRÉCIEUX ET UTILES À PLUSIEURS PERSONNES

CHRISTIANE